Trois nouveautés québécoises font leur apparition dans la programmation Art et essai de la Cinémathèque québécoise en janvier 2018. En voici un bref aperçu.

Labrecque, une caméra pour la mémoire

DÈS LE 12 JANVIER

Documentaire revenant sur l’importance de l’oeuvre du cinéaste Jean-Claude Labrecque à travers une douzaine de ses films. C’est autant un rappel sur le génie créatif de ce bâtisseur du cinéma québécois qu’un retour en arrière sur plusieurs faits importants ayant marqué l’histoire récente du Québec. Réal. : Michel La Veaux [Can., 2017, 94 min]

Destierros

DÈS LE 19 JANVIER

En suivant à la trace plusieurs migrants sud-américains dans leur quête de liberté, Hubert Caron-Guay trace un portrait aussi sombre que nécessaire de ceux que l’on nomme «les migrants» sans vraiment les connaître. À l’heure du net repli sur soi que l’on voit s’opérer dans plusieurs pays du monde, ce film propose une indéniable ouverture sur l’Autre. Réal. : Hubert Caron-Guay [Qué., 2017, 92 min]

Geek girls

DÈS LE 26 JANVIER

Présenté en première canadienne durant le Festival Fantasia en août dernier, ce documentaire «techno» se penche sur la communauté geek féminine. Cinéma, jeux vidéo, blogging... leur importance dans ces domaines n’est pas négligeable mais reste assez peu connue. La montréalaise d’origine hongroise rencontre plusieurs figures de ce mouvement. Réal. : Gina Haraszti [Qué., 2017, 84 min, VO anglaise]