Alyssa Symons-Bélanger a choisi la voie de l’art d’intervention sociale. Mikaël Rioux préfère l’action directe. André Bélisle a plutôt opté pour le lobbying environnemental et Daniel Breton, ancien ministre de l’Environnement du Québec, pour la politique active. Chacun à sa façon, avec ses moyens et ses techniques, lutte contre les dangers bien réels posés par l’industrie des sables bitumineux, une énergie fossile terriblement polluante, qui tente d’étendre ses tentacules au Québec, notamment via le projet d’oléoduc Énergie Est de TransCanada. Sur deux ans, Olivier D. Asselin a suivi le parcours et les actions de ces individus engagés pour un projet de société commun plus vert et qui croient avec raison que tout espoir de changer le monde n’est pas vain, bien au contraire.
Alyssa Symons-Bélanger chose to pursue the art of social action; Mikaël Rioux prefers direct action; André Bélisle decided that environmental activism was the way to go; and Daniel Breton, a former Quebec Environment minister, favours active politics. Each of these activists, in their own way, with the tools and techniques available to them, is fighting against the very real dangers of the oil sands industry, which produces a highly polluting fossil fuel and is trying to get a foothold in Quebec, in particular through TransCanada’s Energy East pipeline project. Over the course of two years, Olivier D. Asselin followed these people as they fought for a common cause and a greener society, believing that the hope of changing the world is not at all in vain.
Assistant du cinéaste Magnus Isacsson pendant plusieurs années, Olivier D. Asselin est diplômé de l’INIS en réalisation, en plus d’avoir étudié en scénarisation et d’être titulaire d’une maîtrise en média expérimental de l’UQAM. Cinéaste socialement engagé, il a réalisé et produit une trentaine de courts et moyens métrages documentaires, expérimentaux et de fiction.
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