Roland, benjamin d'une famille juive séfarade, n'est pas un garçon comme les autres. Les médecins sont formels : Il ne marchera jamais. Mais Esther, sa mère, refuse de le croire. Elle parcourt Paris, de spécialiste en spécialiste, son fils dans les bras, à la recherche du médecin qui fera un miracle. Sur une période de 50 ans, avec l'aide de sa mère, Dieu et Sylvie Vartan, Roland tentera de s'affranchir de son handicap. C'est une histoire d'une grande humanité, lumineuse et pleine d'espoir, où on passe du rire aux larmes. Mais au final, c'est surtout le portrait d'un amour maternel d'une mère qui se bat bec et ongles pour que son fils ait la vie fabuleuse qu'elle souhaitait offrir à tous ses enfants.
Le talent de Ken Scott pour créer des histoires au charme et à l’humour universel qui plaisent au public québécois et international est sans conteste. Ses scénarios tels que La Grande Séduction, Maurice Richard ou Starbuck ont remporté de nombreux prix autant critiques que populaires.
Comme réalisateur, il travaille également à l’international. Aux États-Unis, il a réalisé Delivery man avec Dreamworks et Unfinished business avec Regency. Son film, L’incroyable voyage du Fakir, coproduction avec la France et l’Inde, a été présenté dans plus de 160 pays à travers le monde. Après un retour au Québec pour le tournage d’Au Revoir le Bonheur, Ken Scott termine en ce moment Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan, long-métrage français qu’il a scénarisé et réalisé, qui sortira sur les écrans en 2025.