Il écrit des paroles sombres sur les murs blancs de son loft. Des détritus jonchent le sol de ce qui est devenu un taudis. Il tente de créer quelques mélodies sur une guitare acoustique, mais tout semble l’épuiser. Non loin de lui, une seringue, à côté d’une petite cuillère usée. Il y a un an, Christian Locke était sur le point de devenir une vedette. Mais après un dernier concert, il s’est enfermé chez lui, sans aucun contact avec l’extérieur. Seul le fantôme de Layna, celle qu’il a aimée, celle qui l’a quitté, persiste à s’inviter chez lui, le tourmentant encore et encore en le forçant à plonger dans plusieurs souvenirs doux-amers. Alors qu’il se trouve à la croisée des chemins, une révélation viendra bouleverser tout ce en quoi il croyait encore. Inspiré d’une histoire vraie, ce premier long du cinéaste autodidacte Jon Deitcher est une œuvre aussi intrigante que sensible.
He writes dark lyrics on the white walls of his loft, whose floors are littered with trash. He tries to play a few tunes on his acoustic guitar, but his heart’s not in it. Beside him, a syringe and a dirty spoon. A year ago, Christian Locke was about to be the next big thing, but after his band’s last show, he withdrew from the outside world. His only visitor is the ghost of Layna, the woman he loved, the one who left him, forcing him to wallow in the bittersweet memories of their relationship. When Christian finally takes steps toward overcoming his addiction, the discovery of a dark secret will turn everything he believed in upside down. Inspired by a true story, this feature directorial debut by self- taught filmmaker Jon Deitcher is a gripping and sensitive work.
Cinéaste autodidacte, Jon Deitcher a entre autres signé les documentaires Jump! The world’s greatest streakers et Shuckers. Il a aussi réalisé et monté plusieurs projets pour la télévision (Fatal Vows, Brave New World With Stephen Hawking, Bomb Hunters). Long Gone Day est son premier long métrage de fiction.
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