À Sainte-Anne-du-Bocage, au Nouveau-Brunswick, l’ancien Club des jeunes est en réfection. Ce lieu chargé d’histoire est le point de ralliement de plusieurs artistes acadiens qui cherchent à faire revivre l’esprit des lieux. À l’aide de divers témoignages, ce documentaire met à jour un récit commun aux multiples ramifications, où se joue la transmission d’une mémoire. Alors que les citoyens se sentent abandonnés par leurs politiciens, quel rôle peut encore jouer l’artiste dans la société ? Ancré dans le présent, tout en tirant les leçons du passé, Les héritiers du club réinvente la vie à partir de plusieurs projets collectifs.
In Sainte-Anne-du-Bocage, New Brunswick, the old children’s club is getting a makeover. The historic space is a rallying point for several Acadian artists who want to breathe new life into the building. Using a variety of testimonials, this film updates a familiar story with many implications, a ground on which the transmission of memory occurs. While citizens feel abandoned by their politicians, what can artists do to fill the void? Anchored in the present but informed by the past, Les héritiers du club reinvents life, starting with a handful of collective projects.
Originaire du Nouveau-Brunswick, Renée Blanchar est réalisatrice, scénariste et recherchiste. Titulaire d’un baccalauréat en communication de l’Université d’Ottawa, elle étudie le cinéma à Paris puis signe au Canada plusieurs fictions et documentaires liés au thème de l’engagement. On a tué l’Enfant-Jésus a remporté le prix du meilleur documentaire acadien en 2006.
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