Son père est parti un soir de Noël, mais jamais revenu. Sa mère est morte l’année suivante. Après avoir grandi dans un orphelinat, Henri est désormais adulte et doit s’adapter au monde extérieur. Heureusement, il a un don : mettre de la lumière dans la vie des gens. Trouvant un travail d’entretien de lampes et luminaires, il s’emploie à exercer son don plus concrètement sur la vie de monsieur Binot, un vieil homme fortuné, et de Hélène Guérin, une adorable guichetière. Premier long de Martin Talbot (Il était 3 fois 1 doigt, Les Parent), Henri Henri soigne l’ambiance d’un Québec vintage pour mieux le rendre atemporel et composer sa fable tendre et attachante, notamment portée par la présence lunaire de Victor Andrés Trelles Turgeon et le charme de Sophie Desmarais.
His father left one Christmas night, never to return. His mother died the next year. After growing up in an orphanage, Henri must now learn how to adapt to the adult world. Fortunately he has a gift for bringing light to people’s lives. After getting a job maintaining lights and lamps, he goes about bringing his gift to the lives of wealthy old Mr. Binot and Hélène Guérin, an adorable ticket clerk. In this first feature, Martin Talbot (Il était 3 fois 1 doigt, Les Parent) carefully crafts a vintage Québec ambiance to give the film a sense of timelessness. The result is a warm and embracing fable, featuring a glowing Victor Andrés Trelles Turgeon and a charming Sophie Desmarais.
Réalisateur et scénariste, Martin Talbot a réalisé les séries Québec en 12 lieux, Montréal en 12 lieux et Les Parent. S’inspirant de fables, il a signé plusieurs courts métrages primés, notamment la trilogie Il était 3 fois 1 doigt. Henri Henri est son premier long métrage.
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