Claire est une jeune photographe qui essaie tant bien que mal de traverser l’hiver. Il y a sa séparation qu’elle vit difficilement, ses craintes pour l’avenir qui la chicotent. Et puis, il y a aussi la peur bien réelle de recevoir sur la tête ce vaisseau spatial qui menace de s’écraser sur la Terre. Fantaisie, étrangeté, légèreté inquiète, plans-séquences, à l’envers, ralentis ou subjectifs… Pour son premier long de fiction, Sophie Bédard Marcotte (J’ai comme reculé, on dirait) trouve un ton singulier et personnel en livrant la chronique drôle, décalée et intimiste de la vie de cette jeune femme bien de son temps.
Claire is a young photographer who’s having a tough time making it through the winter. She’s been through a bad breakup, and she’s gnawed by her fears about her future. And there’s also the fear that a space capsule that’s tumbling to Earth will fall on her. Fantasy, strangeness, uneasy lightness, long takes – upside down, slowed down, point-of-view. For her first fictional feature, Sophie Bédard Marcotte (J’ai comme reculé, on dirait) takes a uniquely personal tone in this funny, offbeat and intimate story of a young woman who’s very much of her time.
Depuis la fin de ses études à l’École Mel Hoppenheim, Sophie Bédard Marcotte a produit le documentaire I’ve Seen the Unicorn (2014), avant de passer à la réalisation avec J’ai comme reculé, on dirait, un essai documentaire complété dans le cadre d’une résidence au Centre de création Périphérie de Paris.
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