Trois princesses pour Roland, quatre personnes, une famille. Une famille drôle et dure, touchante et repoussante, comme toutes les familles ; une famille pauvre, comme beaucoup de familles ; une famille unique pour la réalisatrice qui la côtoie depuis l’enfance. Le suicide de Roland devient le prétexte qui permet d'aborder la pauvreté, l'amour et la haine, le présent et le passé, l’alcool, la violence. Avec un regard empreint de tendresse, la réalisatrice André-Line nous présente sa tante Madeleine, sa cousine Nathalie et sa petite-cousine Caroline. Trois générations de femmes dont les vies se ressemblent et se répètent, étonnamment. Un constat sans jugement, sans commentaire, laissant à chacun matière à réfléchir sur ce que nous léguons, sur ce dont nous héritons.
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